Fiche Métier webmarketer

Découvrez le métier de webmarketer

Associant à la fois marketing stratégique et marketing opérationnel, le domaine du webmarketing utilise les fonctionnalités rendues possibles grâce aux nouvelles technologies pour mieux répondre aux attentes des consommateurs et anticiper leur besoins. Promis à un bel avenir, le secteur du webmarketing a permis à de nombreux métiers d’expertise de voir le jour : webmarketer, référenceur SEO ou SEM, traffic manager, responsable e-mailing et fidélisation, responsable e-commerce… Autant d’opportunités professionnelles pour les passionnés d’internet ! En tant que Webmarketer, spécialiste du marketing digital, vous serez chargé de la promotion des sites, produits et services sur Internet. C’est vous qui maximiserez leur rentabilité en optimisant chaque jour le ROI du moindre investissement publicitaire.

En quoi consiste ce métier ? Webmarketer : tout ce qu'il faut savoir

  • Quelles sont les missions d'un webmarketer ?

    Interface entre le marketing, la technique et le commercial, le webmarketer élabore et met en œuvre la stratégie online de l’entreprise. Il fixe les objectifs à atteindre et les moyens à mettre en œuvre. Travaillant à la fois sur les aspects commerciaux et marketing, ses missions sont très variées :

    – Analyse de la concurrence, des tendances du marché et des besoins des consommateurs
    – Définition de la stratégie marketing à adopter en fonction de ces analyses
    – Mise en œuvre des actions de communication on et offline
    – Elaboration, conception et mise en ligne du site, dans le cas de la conception d’un site pour l’entreprise
    – Promotion et animation du site internet (e-mailings, newsletters…)
    Stratégie de référencement du site (SEO, SEA, campagnes d’échanges de liens…) et positionnement (choix des mots clés, rédaction de contenu optimisé…)
    – Coordination des différents partenariats du site
    – Mesure et suivi de l’audience du site internet, à la fois qualitative et quantitative, et propositions d’optimisations

    Le webmarketer est donc présent à toutes les étapes afin de permettre à l’entreprise d’être visible et performante sur internet. A la croisée des chemins entre marketing stratégique et marketing opérationnel, il joue un rôle essentiel dans la réussite de la stratégie online de l’entreprise.

  • Comment devenir webmarketer ?

    Vous souhaitez devenir webmarketer ? L’ESECAD vous propose une formation adaptée. Suivez notre formation Webmarketer à distance et mettez toutes les chances de votre côté pour réaliser votre projet professionnel et devenir Webmarketer.

    ESECAD, école spécialiste des métiers de la vente, du commerce et du Web, vous forme à distance au métier de webmarketer.

  • Quelles sont les compétences et les qualités requises ?

    Le webmarketeur doit posséder de solides connaissances et compétences en référencement (SEO, SEA…), affiliation, e-mailing ou encore partenariats afin d’être capable de mettre en place une stratégie de communication digitale complète et efficace. Il doit aussi posséder une pratique opérationnelle des outils de communication offline (presse, publicité, PLV…) et hors média (street marketing, buzz marketing…).

    Des capacités rédactionnelles sont également nécessaires afin d’animer les sites internet de l’entreprise et de rédiger les différents contenus corporate (dossiers, contenus online…). Il peut également avoir besoin de maîtriser les logiciels de traitement de l’image comme Photoshop.

    Sur un plan plus technique, le webmarketer doit avoir une bonne connaissance des différents langages du web (HTML-CSS, Javascript, XML, PHP…) et de leurs usages, ainsi que des outils d’analyse de trafic et de référencement (Google Analytics, Converteo…).

    Force de proposition et capable de travailler sur plusieurs à la fois, le webmarketeur doit également avoir un très bon esprit de synthèse et d’analyse.

  • Salaire et évolution de carrière

    Le salaire d’un webmarketer junior se situe entre 25 000 et 35 000 euros par an. Avec quelques années d’expérience, ce chiffre pourra grimper jusqu’à 40 000 euros et plus, suivant le niveau de responsabilité et l’entreprise dans laquelle il travaille.